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Quand la Scribouillasse donne son C4

Rhaaa, mais non, rassure-toi, rien à voir avec ce document honni* dont la menace seule fait trembler tous les travailleurs de Belgique ni avec la dernière née des usines de la marque aux chevrons (souvent confondue avec des agrumes dans le nord du pays**). A la rigueur, je pourrais lui trouver quelques ressemblances avec la petite brique d’explosif indispensable à tout bon film d’action…

* en Belgique, le certificat de chômage, délivré par l’employeur lors de licenciement, s’appelle le C4

** en flamand, un citron se dit citroen (prononcez « citrouuune »)

Non, le C4 dont je te parle, c’est le sigle avec lequel, dans le monde de l’édition, on évoque le « 4ème de couverture »…et ici, on ne cause pas moins que du C4 de Ring Est !

Eh oui, à 46 jours (je fais ma maline, mais j’ai juste regardé le compteur sur le blog) de la sortie du bouquin, après avoir validé la couverture, signé d’une main tremblante d’émotion le bon à tirer du texte, il ne restait plus que ce dernier petit détail à régler.

C’est maintenant chose faite…et, pour tout te dire, c’est là que j’ai besoin de toi. J’envoie le bon à tirer dimanche soir pour un envoi à l’impression lundi. Or, tu te doutes bien que j’ai envie d’avoir un C4 qui, pour revenir à mes comparaisons du premier paragraphe, sera trop de la bombe ! Du coup, ton avis m’est super important. Est-ce que le pitch te donne envie de lire le bouquin ? Est-ce que c’est clair ? Manque-t’il quelque chose ? Est-ce qu’il y a une énorme erreur que Xavier (aka super-moustique, mon éditeur unique et préféré) et moi n’avons pas repérée ? Bref, tout ce qui te viendra à l’idée pour transformer ce petit C4 en super-explosif à neutrons sera le bienvenu !

Voilà la bête !

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