Silent Sunday #240

Le principe est simple : une photo, pas de mot…

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#staysafe

54 commentaires sur “Silent Sunday #240

  1. Hello Isabelle
    Ca me rappelle des souvenirs !
    Quand j’ai commencé à l’Icof, on avait les mêmes dans la salle de dactylographie, avec les touches noires, pour ne pas regarder le clavier 😆
    Ca date !
    Bon dimanche
    Gros bisous

    1. j’ai appris à dactylographier sur une machine moins vieille que celle-là, mais quand même, une Olympia qui devait peser au moins 10 kilos…j’avais 10 ans, ma maman devait me l’apporter en classe lol

      1. A 10 ans ?
        Moi c’était plut tard, après le collège.
        Et les machines appartenaient à l’école.
        Plus tard, je m’étais acheté une machine portative où les touches se coinçaient tout le temps, une galère !
        Vive les ordis 😆
        Bises

      2. Oui, c’était une formation offerte aux élèves de primaire. Une dame venait nous donner cours les mardi et jeudi soir après l’école, dans la cantine. On avait eu des prix pour acheter la machine à écrire…c’était une idée de ma maman, je l’en remercie tous les jours. Grâce à ça, je suis capable d’écrire presque à la vitesse de la pensée

      3. Hello Isabelle
        C’est une bonne idée. Est ce que ça se fait encore de nos jours ?
        Les textes à la machine (ou sur ordi) ça évite les ratures et les pertes de pages !
        Alors, tu tapes avec tes 10 doigts ?
        Bon mardi
        Bises

      4. Plus sur machine à écrire, je pense 😁. Cela dit, les enfants sont désormais plongés dans l’électronique et les claviers depuis leur plus jeune âge et en ont développé leur propre manière de dactylographier. Les claviers sont repensés, aussi, et quelques créateurs lancent de nouveaux types de claviers, plus intuitifs. J’en essaierai sans doute un dans le futur… Mais d’abord, récupérer un bon volume de production… Et, oui, je tape avec les 10 doigts 😉

      5. Ah le clavier Azerty !
        Pour les jeunes, ma foi, ils utilisent leurs claviers , tapent à une vitesse folle, mais je déteste l’écriture intuitive, c’est insupportable et ça engendre beaucoup d’erreurs et de non sens 😥
        Bises

      6. C’est une habitude à prendre, je crois. Un peu comme tout, en fait. Je l’utilise sur le téléphone (avec, il est vrai, des erreurs liées davantage au fait que mon attention est focalisée sur les touches et non le mot proposé) et j’ai vu, récemment, un duel entre un utilisateur de clavier intuitif (qui comptait un mois d’apprentissage) et un utilisateur de clavier traditionnel (plus de 20 ans d’expérience) où le clavier intuitif écrasait littéralement l’autre : sur une transcription à la volée, 360 mots par minute et 100% de qualité contre 110 mots par minute et 60% de qualité. C’était en anglais, cela dit, et je demande à voir l’équivalent en français, connaissant les spécificités et difficultés de notre langue.

      7. Très intéressant.
        Je me souviens des heures de gammes en sténo et dactylo que j’ai pu faire pendant mes 4 années à l’ICOF !
        Je suis quand même sceptique au vu du résultat de ce « duel » 😆
        Sur mon portable, j’ai enlevé l’écriture intuitive car le tel me proposait trop n’importe quoi et je passais un temps fou à tout vérifier 🙄

      8. sténo, jamais fait, c’était un de mes grands regrets (je pourrais encore, hein, mais pas l’énergie pour ça, j’avoue 🙂 )

      9. Oui, je ne te conseille pas de te lancer dans l’apprentissage d’une méthode sténo, c’est pas facile du tout !

    1. non, du tout. Il faudrait que je la démonte pour lui refaire un petit entretien complet avant de la réutiliser…mais j’ai travaillé avec des machines mécaniques (j’ai appris à dactylographier quand j’étais encore en primaire, sur une vieille Olympia). les souvenirs que j’en ai gardé étaient, d’une part, mes pauvres petits doigts trop fins et pas assez musclés qui se plantaient entre les touches (aaah, ces lignes de P et de M, quelle horreur) et, d’autre part, les barres de frappe qui se bloquaient les unes contre les autres si on n’y prenait garde. Les secrétaires qui faisaient cliqueter ces machines m’impressionnaient beaucoup. Je suis passée aux machines électriques vers mes 13 ans, je pense, et plus jamais touché une mécanique

    1. il m’arrive de prendre un bloc-notes et un crayon (oui, je n’aime pas les bics, j’écris toujours au crayon, j’adore le glissement de la mine sur le papier), mais plus jamais je ne toucherai à une machine mécanique (mes pauvres doigts se souviennent encore de la torture que c’était)

      1. Celle-ci semble encore plus « tortueuse » que les versions que nous avons connues.
        Le crayon permet plus facilement de gommer et de modifier 😉

  2. Elle est belle! Mon papa avait une Remington! J’ai encore le bruit des frappes sur les touches dans la tête😏
    Bon dimanche😘

      1. de voyage je n’ai pas, et celle de mon papa a atterri chez mon neveu! Un passionné d’antiquité😘

  3. Ça me rappelle mes premiers cours, que je tapais avec une machine mécanique sur des stencils à alcool. Gare aux fautes de frappe ou aux déchirures, tout était alors à recommencer.
    Bon dimanche.

    1. j’ai vécu ça aussi…je pense que mon attrait du risque vient de là : apprendre à taper vite sur une machine qui n’autorise pas l’erreur :p

    1. pas tant que ça, finalement…le bruit des claviers est aussi assourdissant, parfois (hier, nous étions tous dans le salon et j’écrivais, j’avais l’impression de déranger tout le monde lol)

  4. Sur ma remington portative
    J’ai écrit ton nom Laetitia
    Elaeudanla Teïtéïa
    C’est ma douleur que je cultive
    En frappant ces huit lettres-là
    Elaeudanla Teïtéïa

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