Silent Sunday #175

Le principe est simple : une photo, pas de mot…

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#stayhome #staysafe

40 commentaires sur “Silent Sunday #175

  1. Hello Isabelle
    Il faut en effet faire le plein de jeux et livres en prévision d’un nouveau confinement 🙄 😆
    Pas de jeux ici à part quelques parties solitaires de Mahjong sur mon téléphone 😆
    Bon dimanche
    Gros bisous

    1. Impossible de vivre sans jeu de rôle, ici…ça fait plus de vingt ans que, toutes les semaines, mes meilleurs potes et moi nous réunissons pour une soirée en imaginaire

      1. Génial 😆
        Il te faut bien sûr une imagination débordante et qui se renouvèle pour écrire.
        Belle semaine
        Gros bisous

    1. Un jeu de rôle n’a pas de nombre de participants défini…il peut y avoir autant de joueurs que peut le gérer un maître de jeu. Il y a quinze ans, nous étions 6, parfois 7 joueurs à table, plus le maître de jeu. Aujourd’hui, nous restons 4 irréductibles (+ 1 de temps à autres 🙂 )

    1. les joueurs, bien sûr ! Le jeu de rôle est un concept collaboratif, on ne joue pas les uns contre les autres, mais ensemble pour résoudre l’intrigue concoctée par le maître de jeu et vaincre le grand méchant de la fin à l’aide des talents et spécificités de chaque personnage. On joue un héros, de la même manière qu’un acteur le ferait dans un film, sauf que le joueur découvre le film au fur et à mesure et influence sur son déroulement 🙂

  2. « Most people don’t believe in monsters, but you know the truth. They’re real, and it’s your task to bring them down » … un programme hallucinant ma chère Isabelle …

    1. Yay ! J’adore les jeux de rôles versatiles…celui-ci peut tout à fait, selon les envies, se transformer en univers horrifique (digne des films les plus flippants) ou fantasque (scoobydoo-bydooo !!!!)

    1. justement, rien ne vaut une bonne soirée d’imaginaire collectif à vaincre des vilains monstres pour ranger un peu au placard celui qui crapahute dehors (ou qui tente de terrasser les gens qu’on aime)

    1. Un jeu de rôle. En gros, un maître de jeu concocte une intrigue, selon les règles de l’univers du jeu (ici, horrificomique), qu’il va présenter à ses joueurs (qui ont au préalable créé un personnage…ici, un élu, un magicien et un vengeur, chacun ayant des compétences qui lui sont propres). Les joueurs se lancent dans l’aventure un peu comme des acteurs interprétant un rôle, mais sans connaître le scénario, ils le découvrent au fur et à mesure de la partie. Les dés (à quatre, six, huit, dix, douze, vingt et même parfois cent faces) servent à introduire le principe du hasard dans le jeu (exemple, dans un jeu où les actions se déterminent en jetant 2 dés à six faces, on déterminera la réussite d’une action en additionnant le résultat du jet de ces deux dés au niveau d’une compétence pré-établie – exemple : Gégé a une compétence de 3 en intelligence. Lors d’une négociation avec l’un des méchants de l’histoire, l’ennemi tente de l’escroquer. La limite pour se rendre compte de la duperie est à 7. Gégé lance ses deux dés pour voir s’il se rend compte du pot-aux-roses. Il obtient un résultat de 1 et 4. Additionné à son 3 de compétence, Gégé réalise donc un 8 et dégaine son arme : « tu pensais vraiment que je n’allais me rendre compte de rien ? »). Ces jeux allient imagination et improvisation, le tout cadré par le maître de jeu dont le rôle est de s’assurer que les joueurs passent une bonne soirée et s’amusent. Car le but premier est là : le rire, le fun, le plaisir d’une soirée entre amis.

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